Wednesday, June 26, 2013

Isonymy and Isolation by Distance in the Netherlands

by I. Barrai, A. Rodriguez-Larralde, F. Manni and C. Scapoli

in "Human Biology", Volume 74, Number 2, April 2002
pp. 263-283 | 10.1353/hub.2002.0016

http://muse.jhu.edu/journals/hub/summary/v074/74.2barrai.html

Abstract
The isonymy structure of the Netherlands was studied using the surname distribution of 2.4 million private telephone users selected from a 1996 commercial CD-ROM containing the names of 6.3 million users in the country. The users were distributed in 226 towns selected on a geographic basis to form an approximately regular grid throughout the Netherlands. Names of telephone users in each town were downloaded from the CD-ROM, with private users being selected for inclusion in the analysis. The shortest linear distance between several nearest neighboring towns was less than 2 km (e.g., Kampen and Ijsselmuiden, Krommen and Zaandijk, Hendrikdo and Papendrecht) and the longest distance was 326 km (Delfzijl and Oostburg ZL). The number of different surnames revealed by the analysis was 126,485. Lasker's distance, the negative value of the logarithm of isonymy between localities, was found to be significantly correlated with linear geographic distance, with r = 0.47 ± 0.006. A dendrogram built using the matrix of isonymy distances, using the nearest neighbor-joining method, separates the Dutch towns into several clusters, most of them correlated with traditional Dutch regions. Comparisons with the results of previous analyses of the structure of other European countries are given. From the present analysis, isolation by distance emerges clearly, and it is relevant, although much weaker than in Switzerland, Austria, Italy, and Germany. The random component of inbreeding estimated from isonymy indicates a considerable degree of homogeneity in the Netherlands.


"Doubts about isonymy" by Alan R. Rogers


Doubts about isonymy

Saturday, June 15, 2013

Състояние и проблеми на българската ономастика, Том 10 - Научен сборник

Състояние и проблеми на българската ономастика, Том 10 - Научен сборник

Local names in Kula

A new onomastic publication on Bulgarian names:

Zajakov, Ninko: Mestnite imena V Kulsko.Veliko Tărnovo, VU Kiril i Metodij 2013. ISBN 978-954-350-152-6. Br., 311 S., 35,00 Euro.

http://radiovidin.bnr.bg/Shows/Magazin/posokite-na-delnika/Pages/Kniga-za-kulskite-imena-predstavqt-dnes.aspx 


Книгата на Нинко Заяков "Местните имена в Кула" ще бъде представена на кулската общественост от 16:30 часа в малкия салон на Народно читалище "Просвета 1882". На представянето са поканени историци и етнолози, общественици, представители на общинските и държавни институции. Събитието е организирано от Общината и читалището по инициатива на Областната администрация във Видин. На срещата ще присъства и заместник областният управител Елка Георгиева, която ще връчи награди на групата на кулските къпачи, които спечелиха Първа награда на Кукерския фестивал в гр. Перник през февруари тази година.

http://news.e-vidin.com/%D0%B2-%D0%BA%D1%83%D0%BB%D0%B0-%D0%B1%D0%B5-%D0%BF%D1%80%D0%B5%D0%B4%D1%81%D1%82%D0%B0%D0%B2%D0%B5%D0%BD%D0%B0-%D0%BA%D0%BD%D0%B8%D0%B3%D0%B0%D1%82%D0%B0-%D0%BC%D0%B5%D1%81%D1%82%D0%BD%D0%B8%D1%82/ 





FOLIA ONOMASTICA CROATICA KNJIGA 19 I 20 RAZRED ZA FILOLOŠKE ZNANOSTI

Evolution of Personal Proper Names in the Czech Republic in the years 1000-2010


Vývoj vlastních jmen osobních 
v českých zemích v letech 1000–2010


Monograph presents the development of basic prototypes of anthroponyms (first name, surname, patronyms, nicknames and hypocoristics) in the Czech Republic between 1000 and 2010. The author is giving priority to personal names of the Czech population and monitor their development on the Czech territory inhabited by the ethnic majority, while respecting the fact that the German-speaking minority and a relatively large Jewish communitythe were inhabitants of the Czech country as well. Anthroponyms represent a specific language material, whose main sources are published and unpublished administrative texts. This monograph is solely based on the names of really existed persons.

by Jana Pleskalova



http://www.phil.muni.cz/cest/lide/pleskalova.html


Wednesday, June 12, 2013

Onomastic Workshop "Noble names: then and now"

With the second event in this semester on Wednesday, the 19th June 2013, the series of workshops on the Onomastic Research at the University of Leipzig are to be continued.

The theme is "Noble names: then and now" (in German !)


Read it in German: http://www.onomastikblog.de/ankuendigungen/adelsnamen_einst_und_jetzt/


As a guest of the GfN we welcome Prof. Armin-Wolf von Reitzenstein from Munich.



Prof. Reitzenstein is a lecturer in Bavarian onomastics at the Ludwig-Maximilians-University of Munich, publisher of the onomastic Bulletin for the Upper German names research



and co-editor of the book series devoted to Bavarian field names and micro-placenames.



His publications include, in particular, the "Lexicon of Bavarian place names" (2006) and the "Lexicon of Frankish place names" (2009).





On Wiki: http://de.wikipedia.org/wiki/Wolf-Armin_von_Reitzenstein

Article in German about this Professor: http://www.sueddeutsche.de/bayern/etymologie-der-erforscher-der-namen-1.771476 

His page at the University: http://www.bg.geschichte.uni-muenchen.de/personen/lehrbeautragte/reitzenstein_wolf/index.html 



Noms et prénoms: Établir l’identité dans l’empire du choix

Virginia Descoutures and Baptiste Coulmont organize on December 11, 2013 at the INED (Institut National d'Etudes Démographiques) a one-day colloquium "Last and First Names: Establishing Identity in the Empire of Choice"  on the constraints related to forenames and surnames, now when the law allows almost any ...



http://coulmont.com/nomprenom/

Argumentaire
Le prénom et le nom de famille sont les premiers éléments que nous utilisons pour identifier et se faire identifier au sein de la société. Le nom de famille nous rattache à une certaine lignée (par la filiation) tandis que le prénom laissé au libre choix des parents permet de s’individualiser. Alors que, jusqu’à récemment, des habitudes locales et coutumières ou des règles juridiques restreignaient fortement la transmission du nom de famille ou l’inscription du prénom à l’état civil, il semble que les hommes et surtout les femmes disposent désormais d’une plus grande liberté de dénomination. Quel usage est-il fait de cette liberté ?
Le processus de libéralisation est bien visible en France. La loi du 8 janvier 1993 révise l’état civil et la filiation en supprimant tout contrôle a priori sur le choix du prénom et en facilitant les changements de prénom. Plus récemment, c’est le nom de famille qui s’est inscrit dans ce qui apparaît à première vue comme un « empire du choix ». La loi du 4 mars 2002, entrée en application en 2005 et portant réforme du nom de famille permet en effet aux parents de choisir, lors de la déclaration de naissance, de transmettre à leur(s) enfant(s) soit le nom du père, soit celui de la mère, soit encore un « double nom », c’est-à-dire un nom constitué des noms de chacun des parents « accolés dans l’ordre choisi par eux dans la limite toutefois d’un nom de famille pour chacun ». De même très récemment la Direction des affaires civiles et du Sceau a commencé à accepter les demandes de certaines personnes souhaitant retrouver leur nom de famille d’origine (après une francisation de ce dernier).
Mais ce processus est aussi visible ailleurs : en 1978 le Conseil de l’Europe adopte une résolution qui recommande aux Etats membres d’assurer ou de promouvoir l’égalité des époux en droit civil, notamment en ce qui concerne l’attribution du nom de famille. Pour autant les législations des pays européens divergent : les pays nordiques, les Pays-Bas, l’Allemagne, l’Autriche et la Suisse doivent choisir entre le nom du père et celui de la mère ; en Espagne et au Portugal il est possible (comme en France mais aussi depuis 1981 au Québec) de transmettre soit le nom de la mère, soit celui du père, soit les deux noms accolés dans l’ordre choisi par les parents, tandis que la Belgique et l’Italie n’autorisent à ce jour que la transmission du patronyme.
Des contextes nationaux différents semblent donc s’inscrire à présent dans une conception à la fois plus libérale du droit au nom et au prénom, et plus égalitaire (entre les femmes et les hommes), dans laquelle importe l’expression de la volonté. Mais cette libéralisation est partielle, « l’empire du choix » n’est peut-être qu’une façade. Elle reste soumise aux centres d’intérêts de l’État : sécurisation de l’identité et des papiers d’identité, informatisation de l’état civil etc. L’identité onomastique est ainsi peut-être beaucoup plus fixe et cristallisée aujourd’hui qu’elle pouvait l’être par le passé, quand les noms d’usage pouvaient s’imposer.
Elle reste aussi soumise à l’empire du national : noms et prénoms sont des marqueurs (ou perçus comme tels) de l’origine nationale des ascendants et ascendantes. Ils peuvent ainsi servir de support de discrimination, de revendication identitaire mais aussi de stratégie d’invisibilisation.
Enfin elle reste soumise à la domination masculine, intériorisée tant par les hommes que par les femmes, aux implicites des rapports sociaux de sexe. Le choix de la transmission d’un nom de famille peut désormais faire l’objet de négociations entre parents. Or l’Insee indique que près de 83% des enfants nés en 2012 portent uniquement le nom de leur père ; quand 8,5% d’entre eux portent le double nom, la première position revient au nom du père dans la majorité des cas (environ quatre fois sur cinq). Que disent ces parents qui éprouvent une plus grande satisfaction à être tous les deux représentés dans le nom de leur enfant ? Que disent les femmes qui conservent leur patronyme et celles qui adoptent celui de leur conjoint ? Quels choix font-elles en fonction des différentes législations ?
Tout choix était-il impossible sous le Code Napoléon ? Comment le nom se transmettait-il dans le cas de mariage « en gendre » (quand le gendre venait habiter dans la terre de son épouse, prenait-il le nom de la terre) ? Dans quelles circonstances certaines femmes ont-elles réussi à transmettre leur nom ? Quel jeu était alors possible avec les règles juridiques et coutumières ? Quelles furent, quelles sont, les mobilisations de juristes ou de « cause lawyers » autour du nom et du prénom ? Comment les juges, les élus et le pouvoir exécutif, depuis une soixantaine d’années, ont-ils ouvert, par étape, un processus de libéralisation ?
Dans quelle mesure nom et prénom sont-ils supports de discriminations (liées à l’origine, au sexe) sur le marché du travail (ou ailleurs) ? Le prénom, dans la quasi-totalité des cas, a un genre, qui correspond au sexe de l’état civil (bien que cette correspondance ne soit pas requise en droit). L’identité revendiquée – par le choix d’un nom ou d’un prénom particulier – a-t-elle un « coût » ?
Le sens commun présente souvent la prédominance du patronyme comme le pendant « naturel » de la grossesse et de l’accouchement, aux hommes le symbolique et aux femmes le « charnel ». Ces distinctions entre culture et nature, production (le nom peut être perçu comme un capital social, symbolique et culturel) et reproduction ne sont pas nouvelles, ces représentations sont-elles toujours d’actualité ? Pour autant, l’attachement au patronyme de nos jours revêt-il la même signification qu’autrefois ?
Enfin qu’en est-il en dehors du contrôle étatique ? Quand des institutions plus ou moins solides (Églises, sociétés « secrètes », mondes artistiques) développent en toute « liberté » des usages particuliers du nom (nom de religion, pseudonymes etc.) les règles que les individus se donnent sont-elles homologues aux règles de droit ?
Il s’agit donc, dans ce colloque, de prendre pour acquis nombre de travaux ayant indiqués combien nom et prénom servent à matérialiser l’identité sociale, et d’étudier des situations empiriques mouvantes, changeantes, quand le choix offert peut servir de révélateur des contraintes symboliques. Ce colloque s’organisera autour de la présentation pluridisciplinaire de travaux de recherche empirique.

Modalités de soumission
Les propositions, entre 1500 et 3000 signes maximum, sont attendues pour le 1er juillet 2013. Elles sont à envoyer à baptiste.coulmont@univ-paris8.fr et virginie.descoutures@ined.fr
Après évaluation les réponses parviendront avant fin juillet.

Comité scientifique :
Tiphaine Barthélémy, Professeure de sociologie et d’anthropologie sociale (CURAPP, Université de Picardie Jules Verne)
Anne-Marie Devreux, Sociologue, Directrice de recherche au CNRS (CRESPPA-CSU, Université Paris 8)
Agnès Fine, Anthropologue, Directrice d’études à l’EHESS (LISTT-Cas, Université Toulouse Le Mirail)
Wilfried Rault, Sociologue, Chargé de recherche (Ined)

Comité d’organisation :
Baptiste Coulmont, Sociologue, Maître de conférences (CRESPPA-CSU, Université Paris 8)

Virginie Descoutures, Sociologue, Allocataire post-doctorante de l’IEC (Ined & CRESPPA-GTM)


Bibliographie indicative
[collectif] [2002], Controverse “Le nom du père en question.” Travail, Genre et Sociétés, 7, p.173–191.
Brunet, G., Darlu, P. & Zei, G. eds. [2001], Le patronyme: histoire, anthropologie, société, Paris: Editions du CNRS.
Combes, D. & Devreux, A.-M. [1991], Construire sa parenté. Reconnaissance, légitimation, dénomination des enfants, CSU (Centre de sociologie urbaine) – IRESCO/CNRS.
Coulmont, B. [2011], Sociologie des prénoms, Paris: La Découverte.

Duchesne, L. [2006], Les noms de famille au Québec: aspect statistique et distribution spatiale, Québec (Canada): Institut de la statistique du Québec.
Feschet, V. [2004], La transmission du nom de famille en Europe occidentale (fin XXe-début XXIe siècles). L’Homme. Revue française d’anthropologie, [169], p.61–88.
Fine, A. ed. [2008], États civils en questions. Papiers, identités, sentiment de soi., Paris: Éditions du CTHS.
Fine, A. & Ouellette, F.-R. eds. [2005], Le Nom dans les sociétés occidentales contemporaines, Toulouse: Presses universitaires du Mirail.
Lefebvre-Teillard, A. [1990], Le nom. Droit et histoire, Paris: Presses universitaires de France.
Lieberson, S., Dumais, S. & Baumann, S. [2000], The instability of Androgynous Names: The Symbolic Maintenance of Gender Boundaries. The American Journal of Sociology, 105[5], p.1249–1287.
Masson, C. & Felzenszwalbe, N. [2012], Rendez-nous nos noms ! : Quand les juifs revendiquent leur identité perdue, Desclée de Brouwer.
De Pina-Cabral, J. [2010], The truth of personal names. Journal of the Royal Anthropological Institute, 16[2], p.297–312.
Pinçon, M. & Pinçon-Charlot, M. [1990], Le nom de la lignée comme garantie de l’excellence sociale. Ethnologie française, 20[1], p.91–97.
Schulz, M. [2009], Filiation et nom 2e éd., Paris: Berger-Levrault.
Sue, C.A. & Telles, E.E. [2007], Assimilation and Gender in Naming. American Journal of Sociology, 112[5], p.1383–1415.
Valetas, M.-F. [1992], Avenir du nom de la femme et transformation des structures familiales. Population, 47[1], p.105–132.
Valetas, M.-F. [2002], La subordination patronymique de la femme. Travail, genre et sociétés, 7, p.180–184.
Weber, F. [2005], Le sang, le nom, le quotidien. Une sociologie de la parenté pratique, Montreuil: Aux lieux d’être.

Sunday, June 9, 2013

Street Naming Process Diagram

"Словарь географических названий. Более 3500 единиц" by Александра Суперанская

Книга "Словарь географических названий. Более 3500 единиц" - Александра Суперанская. Купить книгу, читать рецензии | ISBN 9785462014093 | Лабиринт: Книга: Словарь географических названий. Более 3500 единиц. Автор: Александра Суперанская. Аннотация, отзывы читателей, иллюстрации. Купить книгу по привлекательной цене среди миллиона книг "Лабиринта" | ISBN 9785462014093


«Кривые» топонимики / False toponymists


5 июня 2013 г. 14:28
«Кривые» топонимики
Грань допустимой условности перейдена окончательно, ведь название улицы – вещь не только символичная, но и вполне конкретная: честь и уважение к конкретному событию или человеку.

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"Deutsche Namenkunde" by Max Gottschald


The Origin of Moscow Street Names (part 1)


The territory of modern Moscow has long been occupied by men. In Shchukin, in Lyalov on the Klyazma river, in Davydkov, on the river Setun, in Dyakov, in the Kremlin and in many other places, archeologists discovered ancient settlements. The names of these settlements did not reach us, most likely because of a lack of documentation. The most ancient names were given at a time when the city was only at its beginning. They got their name due to the characteristics of the area: its vegetation, its soil, its rivers and spring water, etc. Some of these names have survived up to nowadays.
Go on:

The Origin of Moscow Street Names (part 1)



Russia’s most popular street names announced

Illogical names in Moscow: from the "Baumanka" to the Miklouho-Maclay Street

Нелогичные московские названия: от "Бауманки" до улицы Миклухо-Маклая

140 лет назад, 29 мая 1873 года родился Николай Бауман, революционер, марксист и член РСДРП. Его имя в Москве носят станция метро, две улицы и технический университет, хотя сам Николай Эрнестович никакого отношения к инженерным наукам не имел, а по профессии был ветеринаром. Ему просто не посчастливилось быть убитым неподалеку от Императорского Московского технического училища, которое большевики впоследствии назвали в честь своего павшего соратника. Более того, весь Басманный район в советское время назывался Бауманским. M24.ru вспоминает, в каких еще столичных названиях увековечена память людей, мало причастных к московской истории.
Keep reading under: http://www.m24.ru/articles/18718


Что в имени твоем, улица? What's in a name of street?

Тувинские школьники изучат этимологию и историю названий родных поселков и городов


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Тувинские школьники изучат этимологию и историю названий родных поселков и городов
27.05.2013 В школах Тувы в полную силу должны будут заработать краеведческие кружки. Одним из ключевых направлений их работы на предстоящие лето и осень станет изучение этимологии и истории названий родных мест – поселков, городов, рек, озер, гор.   На эту задачу на заседании республиканского Оргкомитета по подготовке 100-летия...
© 2013 - Мои года

Thursday, June 6, 2013

Place Names: 1912 vs. 2012

NameFreak!: Place Names: 1912 vs. 2012: Parents have been using place names as their children's names a lot over the years. I compared the Top 1000 for 1912 with 2012 and th...

Sunday, June 2, 2013

Biddy (104) parties in style as name slowly vanishes

Biddy (104) parties in style as name slowly vanishes

CALLING someone an "old biddy" is not usually recommended but one Biddy, who celebrated her 104th birthday yesterday, is proud of her 'seniority'.
And Bridget (Biddy) McGee, from Annagry, Co Donegal, has another reason to be pleased with her longevity as a new study shows that there are very few Biddys or Paddys left among Irish ex-pats.
Research from Durham and Northumbria University, released yesterday, revealed that traditional Irish Catholic names such as Patrick and Bridget came close to dying out due to fears of discrimination among Irish immigrants in Britain.




Irish Isonymy Project

Irish Isonymy Project - Northumbria University, Newcastle UK

Surnames, Forenames and the Application of Isonymy to Historical Data: The Irish in Nineteenth-Century Britain

The Project Context
The study of the Irish in 19th century Britain has yielded numerous path-breaking works which help us to understand the relationship between the islands of Britain and Ireland. Quantitative studies, however, are relatively few in number; and those which exist tend to focus on the census as a source for historical reconstruction. However, the limitations of the UK census means, with its failure to record specific birthplace in any but a small minority of cases, means that, till now, very little written has been written about the specific county of origins of Irish migrants. However, we believe that uncovering these origins helps us still better to understand the specific sub-pathways of migration which Irish people followed in migrating from one island to the other. Our project has, for some years, sought to shed greater light on the issue of interregional connections of this sort by applying a technique called Isonymy to the questions of origins which the census cannot answer.


The Project Method
Isonymy—a quantitative method based on the distribution and frequency of surnames—has been used extensively in biological anthropology to investigate the structure populations, but has seldom been applied in social sciences. Research on the origins and migration pattern of the Irish in Britain in the late nineteenth century is hampered by lack of detailed birthplace attribution in the 19th century censuses.
Between 2002 and 2005 our research was funded under the ESRC Research Methods programme. More details can be found on the CCSR website: http://www.ccsr.ac.uk/methods/projects/posters/smith.shtml. In addition, a poster explaining our methods and findings by case study can be found here: http://www.northumbria.ac.uk/static/5007/sasspdf/isonymyposter.pdf.
We are currently completing a monograph which explores the issues of origins and interregional connection by focusing on the Irish in the north of England.



Forenames
In addition, we have more recently added the study of forename selection as a way of examining the cultural evolution of non-Irish practices. Our research shows that, over time, the Irish in Britain ceased using classic Irish forenames, such as Patrick and Bridget, favouring neutral names instead.

Names and Socio-Economic Integration
We have also begun to use surnames’ analysis to selection second generation migrants to test, via occupational analysis, whether or not the Irish climbed the socio-economic ladder over time. Our research on data on mining occupations from the 1881 census suggests that advancement was slow and that certain types of prized mining occupations were closed to the Irish.

Publications 
MacRaild, Donald M. and Malcolm Smith [with John A. Burnett and Kyle Hughes], ‘Scottish Migrants in the northern “Irish Sea industrial zone”, 1841-1911: Preliminary Patterns and Perspectives’, Northern History, forthcoming 2012.
MacRaild, Donald M. and Malcolm Smith, ‘Migration and Emigration, 1600-1945’, in Liam Kennedy and Philip Ollerenshaw (eds), Ulster Since 1600: Politics, Economy, and Society (Oxford: Oxford University Press, 2012), pp. 140-59.
Smith, Malcolm, and Donald M. MacRaild, ‘The Irish in the mining industry in England and Wales in the 19th Century: Evidence from the 1881 Census’, Irish Economic and Social History, 36 (2009), pp 36-62.
Smith, Malcolm, and Donald M. MacRaild, ‘Nineteenth-century population structure of Ireland and of the Irish in England and Wales: an analysis by isonymy’, American Journal of Human Biology, 21, 3 (2009), pp 283-289.
Smith, Malcolm, and Donald M. MacRaild, ‘Paddy and Biddy no more: An evolutionary analysis of the decline in Irish Catholic forenames among descendents of nineteenth century Irish migrants to Britain’, Annals of Human Biology, 36, 5 (2009), pp 595-608.
Smith, Malcolm, and Donald M. MacRaild, ‘Origins of the Irish in Northern England: An Isonymic Analysis of Data from the 1881 Census’, Immigrants & Minorities, vol. 27, nos 2/3 (2009), pp 152-77.


Surnames in Albania: A Study of the Population of Albania through Isonymy

Surnames in Albania: A Study of the Population of Albania through Isonymy Mikerezi 2013 Annals of Human Genetics Wiley Online Library

by Ilia Mikerezi, Endrit Xhina, Chiara Scapoli, Guido Barbujani, Elisabetta Mamolini, Massimo Sandri, Alberto Carrieri, Alvaro Rodriguez-Larralde, Italo Barrai

Article first published online: 5 MAR 2013

DOI: 10.1111/ahg.12015

in Annals of Human Genetics

Volume 77, Issue 3, pages 232–243, May 2013

Keywords:
Albania;population structure;isonymy;inbreeding;isolation by distance

Summary
In order to describe the isonymic structure of Albania, the distribution of 3,068,447 surnames was studied in the 12 prefectures and their administrative subdivisions: the 36 districts and 321 communes. The number of different surnames found was 37,184. Effective surname number for the entire country was 1327, the average for prefectures was 653.3 ± 84.3, for districts 365.9 ± 42.0 and for communes 122.6 ± 8.7. These values display a variation of inbreeding between administrative levels in the Albanian population, which can be attributed to the previously published “Prefecture effect”.
Matrices of isonymic distances between units within administrative levels were tested for correlation with geographic distances. The correlations were highest for prefectures (r = 0.71 ± 0.06 for Euclidean distance) and lowest for communes (r = 0.37 ± 0.011 for Nei's distance).
The multivariate analyses (Principal component analysis and Multidimensional Scaling) of prefectures identify three main clusters, one toward the North, the second in Central Albania, and the third in the South. This pattern is consistent with important subclusters from districts and communes, which point out that the country may have been colonised by diffusion of groups in the North-South direction, and from Macedonia in the East, over a pre-existing Illiryan population.


Correlations between Isonymy Parameters

International Journal of Anthropology
JANUARY–MARCH 1997, Volume 12, Issue 1, pp 17-37

Correlations between Isonymy Parameters

C. Scapoli, A. Rodríguez-Larralde, M. Beretta, C. Nesti, A. Lucchetti, I. Barrai

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http://link.springer.com/article/10.1007%2FBF02447886

Abstract
Several parameters of genetic and anthropological interest are commonly estimated in the analysis of the surnames' distribution in human populations. Among these parameters, the most important for population structure is unbiased Isonymy, equivalent to 4 times the value of Fst, the random component of inbreeding in a group. Fisher's α estimates the wealth of surnames in a group, and Karlin-McGregorv is considered proportional to migration rates. Recently, other parameters like Entropy and Redundance of the surname's distribution were introduced in the analysis and estimated. In the present work, the parameters obtained through isonymy analysis of 759,500 telephone users in 379 Communes of Sicily are correlated with variables such as sample size, population size and density, and number of surnames in the Commune. In Sicily, the parameters or their logarithm are Gammadistributed. It is observed that the number of surnames is strongly correlated with most parameters or with their logarithm, and that it is in turn strongly correlated with sample size.


Unusable vs. Admirable Women Bible Names




Saturday, June 1, 2013

Wow! 20,000 Visitors!

Today I am celebrating an exciting and significant event!

 20.000 visitors

Since my blog ‘e-Onomastics’ was launched in November 2012 I have been watching with great interest our Clustrmap and our Flag Counter to see where my visitors are from.

20,000 people from 150 countries have visited my blog, some have even left comments for me. I don’t always know your name, how old you are or your occupation, but I am so pleased that you have connected with me.


THANK YOU !!!